Adam Driver Taille Poids – “Il s’est passé beaucoup d’activité loin de la caméra. Lorsque nous avons atteint le plateau, les enjeux étaient déjà très élevés, mais nous avons continué à perdre du poids. Il a souhaité que cela se produise physiquement. Il a demandé que nous perdions une quantité importante de poids . Je n’avais aucune idée jusqu’où cela irait. Je n’avais jamais été poussé à un tel extrême. C’est quelque chose à noter. Vous avez juste assez d’énergie pour mener à bien la tâche à accomplir. Parfois, une scène peut ne pas bouger et vous manquent de l’énergie nécessaire pour comprendre pourquoi.
Quand Adam était adolescent, il chantait dans la chorale de l’église et était populaire parmi ses pairs à l’école secondaire Mishawaka, où il a obtenu son diplôme en 2001.
Après ses études secondaires, il a travaillé en tant que vendeur en porte-à-porte vendant des aspirateurs Kirby puis en tant que vendeur à distance pour une entreprise spécialisée dans la sécurité souterraine. Il a auparavant occupé le même poste chez Ben Franklin Construction. C’est un délice : Adam Driver s’empare spontanément de notre enregistreur téléphonique pour garantir la qualité audio. À la question « Comment allez-vous ? » répond-il, sa voix calme mais gentille, “Et toi ?” Il est arrivé la veille et a exprimé sa joie.
« Le Festival a toujours eu pour moi une résonance mythique, et j’ai l’impression que la ville est belle, même si je ne l’ai vue que de nuit, sur le chemin qui part de l’aéroport. » Qui est Jim Jarmusch ? Un bel réalisateur et homme, cohérent, bienveillant, drôle. Bref, Adam Driver, 1,91 m et 89 kilogrammes, rétrécit et disparaît, bien qu’il soit le poids le plus désirable de la saison 2016.
A peine levée-t-il un sourcil lorsqu’un photographe de Libération lui demande d’asseoir sa grosse carcasse sur la moquette de la Carlton. Ce n’est plus le bourrin du Midwest (né à San Bernadino, Californie) que l’on pourrait citer, mais bien quelques propos assez précis et raffinés sur le genre.
Bien sûr, le cinéma européen m’intéresse ; j’ai d’ailleurs tourné avec Saverio Costanzo et je suis prêt à le faire avec d’autres. C’est peut-être généralisé, mais à mon avis, les films européens ont plus d’ambiguïté et de danger que les productions américaines, qui expliquent souvent tout. Considérant que la vie elle-même est compliquée et ambiguë.»